LA UNE DU MAT

LE JOURNAL DE CE QUI S'ÉCRIT DANS LE MONDE A LA PREMIÈRE HEURE - HEBDOMADAIRE

mercredi 16 juin 2010

POESIE 13EME: LE GAGNANT

Ahhh le désert en aura donc laissé quelques uns complètement secs! Nous l'avions prévu!
Cela ne rend que plus efficace la victoire de APHONE pour son poème.
Le voici donc, avec toutes nos félicitations; les autres sont à lire dans les commentaires de cet article.
Bravo Aphone!

Crier dans le désert

Crier dans le désert,
Debout, sur la Terre,
Pour sentir ma voix me quitter,
Se perdre et déambuler...

Crier dans le désert,
Pour défier la Terre,
Et pour m'oublier à apprécier
Le silence à mes pieds.

Aphone

1 commentaire:

  1. Pour DÉSERT: voici vos poésies:
    ------------------------------------

    Anonyme a dit…

    .... (le cri du désert)
    5 juin 2010 10:06
    -

    Le désert étant beaucoup trop beau
    Pour qu'on le dise, même avec mille mots,

    Le désert s'écrivant de silences,
    De paroles ferai donc abstinence.

    Théodore MON EAU
    5 juin 2010 10:21

    -

    Le Mat a dit…

    Voyageur (Hors concours)

    Voyageur,

    Tu verras
    Les dunes et leurs mystérieuses rondeurs
    Tu verras
    Le sable et les tourbillons soulevés par les Dieux
    Tu verras
    Les étoiles sans qu’aucune ne se laisse compter
    Et ces cieux infinis qui se perdent en couleurs.

    Tu verras
    Des paysages sans ombre qui guériront ton cœur
    Tu verras
    Ces arbres aux racines qui plongent dans les secs tréfonds,
    Tu verras
    Des bêtes qui ne se lassent pas de vivre,
    Des pierres aux ongles gelés qui éclatent de chaleur.

    Mais un jour…
    Tu verras
    Des hommes dont l’œil silencieux
    Est tout entier habité de riantes lueurs.

    Alors tu souriras
    Car tu seras vivant.
    8 juin 2010 15:06

    -

    Anonyme a dit…

    Crier dans le désert

    Crier dans le désert,
    Debout, sur la Terre,
    Pour sentir ma voix me quitter,
    Se perdre et déambuler...

    Crier dans le désert,
    Pour défier la Terre,
    Et pour m'oublier à apprécier
    Le silence à mes pieds.

    Aphone

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