Disons plutôt: la première humaine...
C'est une grande première dans le monde de la finance: Mademoiselle Josie Suisse, résidente d'une cité balnéaire du sud de la France, s'est proposée comme produit sur les places boursières internationales. Selon l'intéressée, il s'agissait en ses temps de crise, de trouver un moyen efficace et rapide de nourrir sa famille. Puisque le capitalisme a la dent dure, cette jeune maman très diplômée mais au chômage a décidé de prendre le taureau par la dent et de coter en bourse son potentiel d'humaine afin de le rentabiliser.
Le principe est simple et similaire à tout produit financier: les investisseurs placent leurs billes dans une partie de la personne: mains, coudes, seins, cerveau. Dans un souci d'équité du marché, les actions ont le même prix quelque soit le morceau choisi. La situation actuelle du produit est le suivant: fort potentiel de réalisation, actuellement au chômage, bardée de diplômes, au physique solide et agréable, fortement créative et tout juste maman. Selon les experts, sa situation ne pouvant s'aggraver davantage, il s'agit d'un placement extrêmement rentable à moyen et long termes.
Du reste, on s'arrachait déjà ses membres à New York à l'ouverture et à la bourse de Paris, les courtiers dormaient devant leurs ordinateurs pour profiter des dernières poils ou cheveux disponibles ce matin.. Mademoiselle Suisse est désormais de constitution internationale et à l'issue des ventes, l'action Josie était cotée à 5000$! Du jamais vu ! Les marchés du blé et du pétrole n'ont qu'à bien se tenir.
Voici qui pourrait donner des idées aux acteurs du secteur. Capitaliser directement sur la matière humaine, comment n'y ont-ils pas pensé auparavant?
"Je n'ai qu'un seul regret, nous confiera l'intéressée, de n'avoir pu aussi coter mon bébé! Pour mon conseiller financier, c'était trop risqué pour le cours de mes actions mais je suis certaine que j'aurais ainsi pu payer la retraite de mon enfant"
Longue vie à Josie Suisse!
C'est une grande première dans le monde de la finance: Mademoiselle Josie Suisse, résidente d'une cité balnéaire du sud de la France, s'est proposée comme produit sur les places boursières internationales. Selon l'intéressée, il s'agissait en ses temps de crise, de trouver un moyen efficace et rapide de nourrir sa famille. Puisque le capitalisme a la dent dure, cette jeune maman très diplômée mais au chômage a décidé de prendre le taureau par la dent et de coter en bourse son potentiel d'humaine afin de le rentabiliser.
Le principe est simple et similaire à tout produit financier: les investisseurs placent leurs billes dans une partie de la personne: mains, coudes, seins, cerveau. Dans un souci d'équité du marché, les actions ont le même prix quelque soit le morceau choisi. La situation actuelle du produit est le suivant: fort potentiel de réalisation, actuellement au chômage, bardée de diplômes, au physique solide et agréable, fortement créative et tout juste maman. Selon les experts, sa situation ne pouvant s'aggraver davantage, il s'agit d'un placement extrêmement rentable à moyen et long termes.
Du reste, on s'arrachait déjà ses membres à New York à l'ouverture et à la bourse de Paris, les courtiers dormaient devant leurs ordinateurs pour profiter des dernières poils ou cheveux disponibles ce matin.. Mademoiselle Suisse est désormais de constitution internationale et à l'issue des ventes, l'action Josie était cotée à 5000$! Du jamais vu ! Les marchés du blé et du pétrole n'ont qu'à bien se tenir.
Voici qui pourrait donner des idées aux acteurs du secteur. Capitaliser directement sur la matière humaine, comment n'y ont-ils pas pensé auparavant?
"Je n'ai qu'un seul regret, nous confiera l'intéressée, de n'avoir pu aussi coter mon bébé! Pour mon conseiller financier, c'était trop risqué pour le cours de mes actions mais je suis certaine que j'aurais ainsi pu payer la retraite de mon enfant"
Longue vie à Josie Suisse!