Toulouse L'eau Fraîche
Et voici son poème.(A voir: les autres textes dans cette rubrique de commentaires)
Quand je serai grand...
Je pourrai, hissez haut,
Attraper des cerises,
Sans prendre l'escabeau.
Et les filles me feront la bise.
Quand je serai grand...
Enfin verrai la route,
Ses dos d'âne et cassures
Par-dessus sans doute
Le volant de voiture.
Quand je serai grand...
J'offrirai à ma mère,
Vu sa taille de misère,
Un petit marchepied
Pour qu'elle puisse m'embrasser.
Quand je serai grand...
De mon père je peindrai
Le haut gracieux du crâne
Sans devoir me hisser
Sur le bon dos d'un âne.
Bravo!
Je pourrai, hissez haut,
Attraper des cerises,
Sans prendre l'escabeau.
Et les filles me feront la bise.
Quand je serai grand...
Enfin verrai la route,
Ses dos d'âne et cassures
Par-dessus sans doute
Le volant de voiture.
Quand je serai grand...
J'offrirai à ma mère,
Vu sa taille de misère,
Un petit marchepied
Pour qu'elle puisse m'embrasser.
Quand je serai grand...
De mon père je peindrai
Le haut gracieux du crâne
Sans devoir me hisser
Sur le bon dos d'un âne.
Bravo!
QUAND JE SERAI GRAND - LES POÈMES - première partie
RépondreSupprimerUn jour j'y arriverai
les effleurer voir les toucher
ils ont l'air si accueillants
mais par Eole plutôt fuyants
Ce dernier m'éprouve
me contorsionne
mon tuteur ma canne
aide moi dans mon dessein
ma quête de ces compagnons lointains
je le sais j'en suis persuadé
si déterminé moi frêle peuplier
avec un grand âge mais sans ambages
les chérir les enlacer mes dévoués nuages
Gérard Mentor auteur de "Inspirez vous de moi en toute vraie prétention"
_
Quand je serai grand...
Je pourrai, hissez haut,
Attraper des cerises,
Sans prendre l'escabeau.
Et les filles me feront la bise.
Quand je serai grand...
Enfin verrai la route,
Ses dos d'âne et cassures
Par-dessus sans doute
Le volant de voiture.
Quand je serai grand...
J'offrirai à ma mère,
Vu sa taille de misère,
Un petit marchepied
Pour qu'elle puisse m'embrasser.
Quand je serai grand...
De mon père je peindrai
Le haut gracieux du crâne
Sans devoir me hisser
Sur le bon dos d'un âne.
Toulouse L'eau Fraîche
19 mai 2010 11:44
-
Le Mat a dit…
DILING DILING
(hors compétition)
C’est un rêve accroché à un néon qui fait diling diling dans le courant d’air.
Quand on passe on ne peut l’éviter, diling diling dans les airs.
C’est une petite fille qui se lève un matin et décide d’accrocher
Elle pousse tabouret et pour faire plus haut rajoute des coussins sous la pointe des pieds.
Car moins ce n’est pas assez pour un rêve, si elle pouvait elle l’accrocherait sous le croisillon
Il faudrait être grand comme géant pour alors l’attraper, du haut du toit de la maison.
C’est un rêve accroché à un plafond qui fait diling diling dans nos prières
A chaque fois qu’on se tait on entend son murmure
Comme pour rappeler nos rêves accrochés quand on ne sait plus parler.
Quand le vent est trop frais il se balance dangereusement
On lève la tête vers le mobile en craignant qu’il ne cède à la tempête
Diling diling fort dans le vent.
C’est un rêve accroché à la barre de nos cloisons
La petite fille passe et chaque jour tente de sauter
Pour attraper du mieux le rêve balancé
Un peu plus loin, un peu plus haut
Un jour…diling diling, le bout de ses doigts n’a-t-il point touché ?
Des frissons qui descendent du ciel, le rêve serait il si près ?
C’est un rêve soudain décroché d’un plafond
Il n’a plus besoin de pendre il est libre comme l’air
Diling diling il chante dans une chanson celle qui se promène dans le cœur
D’une grande fière qui a la taille d’être son rêve.
Mais on est triste dans la maison.
Il n’y a plus de diling diling pour dire les silences
La famille a perdu le chant de sa raison.
Tous jettent un œil inquiet vers ce vide plafond
Et quand le vent souffle, on a peur qu’il décolle nos fonds.
Et soudain un matin, une petite fille
Elle entre dans la maison.
Elle lève le nez au ciel, inspecte le plafond
On dirait qu’elle entend comme un diling diling
Pourtant quand on regarde rien n’est accroché…
Elle pousse une chaise, y rajoute des livres
Grimpe sur ses orteils, escalade la pile
A genoux et débout puis dégage de sa robe
Un mobile de papier avec des étoiles découpées.
Elle s’allonge sur le sol et regarde du plus bas
Le ballet de son jeu qui vole à tout va.
Quand je serais grande, je serais courant d’air
Et je caresserais les étoiles dans les airs.
Je les ferais chanter dans le silence du papier
Et les hommes en dessous dans leur cœur entendront :
« Diling Diling… j’ai un rêve au plafond »
QUAND JE SERAI GRAND- VOS POÈMES - Deuxième partie
RépondreSupprimerMoi :
Quand je serait grand, je serait astronaute !!!
Quand je serait grand, je serait inventeur scientifique!!
Quand je serait grand, je serait comme la maitresse!!!
Quand je serait grand, je serait vétérinaire !!
Maintenant
Je suis grand et je suis ... caissier au Géant Casino.
Albert Le Grand(j'aurai au moins essayer)
28 mai 2010 17:54
-
Magicien
Quand je serai grand,
Je serai encore un enfant,
Les adultes sont trop sérieux,
Ils ont l'air si vieux!
Et aussi, comme métier, eh bien,
Je serai un grand magicien,
De ma baguette je repeindrai le ciel en blanc,
Car c'est la couleur préférée de maman.
baloumbaloum
Consternant jury on se croirait à l'académie des Neufs !
RépondreSupprimerAlors... une petite crise de jalousie anonyme?...
RépondreSupprimerLa Redac
Mais donnez lui un bonbon, à ce jaloux anonyme, et ça le calmera! Même pas il respecte le jury. Mais je l'aime moi, le jury!...
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